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Langues, culture et sport, les 3 « porte-drapeaux » de la Bretagne

La Bretagne est un territoire amoureux de la culture, de la culture populaire et du sport, vecteurs de bien-être social et de développement territorial

Soutenir cultures et sports, sauver et promouvoir nos langues de Bretagne permettra de souder davantage les bretonnes et les bretons autour d’une volonté commune de développer le bien-vivre ensemble

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Appel à vos propositions

7 réponses

  1. Afin d’éviter le ‘mitage’ actuel en matière de bilinguisme : voter des « dispositions » à valeur régionale s’appliquant sur l’ensemble du territoire où sur une fraction (à définir) de celui-ci : bilinguisme systématique breton-français pour le jalonnement urbain et communal en Basse Bretagne ainsi que pour les routes…
    Incitation des communes et communautés de communes à bilinguiser l’ensemble de leurs sites, véhicules et communications.

  2. Commencer par ètre logique: ce site doit etre bilingue.(Brezhoneg-Galleg)
    Par ailleurs:
    -mettre en place une TV sur le modèle gallois de S4 (S pedvarek).
    -avoir la maitrise sur le contenu du système éducatif.
    -récupérer la formation du personnel maritime (Nantes et Saint Malo).

  3. Brezhoneg kenofisiel e Breizh he femp departamant. Gwir da gement Breizhad/Breizhadez zo da vevañ e brezhoneg n’eus forzh pelec’h e Breizh / Breton coofficiel en Bretagne. Droit pour tout-e Breton, Bretonne de vivre en langue bretonne n’importe en Bretagne à 5, evel-just !

  4. Pour parler de culture et non simplement de langue, je pense que la Bretagne a la chance d’avoir un tissus dense d’associations et d’initiatives de toutes sortes et de toutes tailles. La culture c’est d’abord la diversité , et la période Covid nous montre que sans interactions sociales, la culture dépérit. Je crois qu’il faut s’opposer à l’uniformisation culturelle mondiale sous prégnance majeure des USA et de la langue anglaise. Je crois qu’il faut favoriser la culture vivante prise en main par chacun .La culture c’est comme la confiture c’est meilleur quand on la fait ensemble.
    Le citoyen doit être acteur de la culture et ne pas laisser la création uniquement à des professionnels auto-désignés artistes. La Culture vivante et amateure est un facteur important d’émancipation sociale cf l’orchestre Demos de Brest qui arrive a faire sortir la musique classique de son étui poussiéreux .
    https://www.youtube.com/watch?v=6jqJuQ-8u_A
    Notre culture populaire bretonne est aussi un bel exemple d’une culture faite maison, souvent issue de paysans anonyme ; transmise par oral . La survie du Fest Noz est un signe d’espoir, pas seulement pour l’identité bretonne mais aussi pour une culture vivante, ouverte qui libère et qui fait civilisation.

  5. Préserver les noms de lieux dits et de communes historiques en interdisant leur modification.
    Je ne suis pas pour interdire systématiquement, mais dans ce cas je crois que le pouvoir d’un maire éphémère sur un patrimoine séculaire voire millénaire devrait être limité.

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Accord programmatique

Les Bretonnes et les Bretons qui sont allés voter dimanche ont validé le projet proposé par Loïg Chesnais-Girard et ont aussi exprimé leur volonté de voir l’écologie issue d’une dynamique citoyenne prendre une place plus importante.

Loïg Chesnais–Girard pour la liste La Bretagne avec Loïg et Daniel Cueff pour la liste Bretagne ma vie ont élaboré un accord qui s’appuie sur des dynamiques communes qui enrichissent le projet initial.

Cet accord concerne les apports spécifiques de Bretagne ma vie :

  • Un plan de refus de la misère et la précarité.
  • Une alimentation durable pour les lycées.
  • Une politique de santé et de sécurité sanitaire.
  • Un « Plan Marshall des langues ».
  • Une politique maritime globale.
  • Une accélération de la recherche de solutions avec les agriculteurs.
  • Un plan « abeilles ».
  • Une politique massive de rénovation thermique de l’habitat breton.
  • Un office foncier régional solidaire.
  • Création d’un indicateur économique alternatif au PIB.
  • Un plan mobilité global.
  • Une Chambre citoyenne régionale.

Daniel Cueff 

Loïg Chesnais Girard